1 Août 2011
La Floride à la base, ce sont principalement des marécages (moustiques, moustiques), qui ont été asséchés entre autres par Mickey. La partie qui a survécu à l'homme s'appelle les Everglades.
Prévu de longue date, un petit tour en airboat en pleine nature au Lake Tohopekaliga (= nous nous rassemblerons ici en indien seminole), plus communément connu sous le nom de Lake Toho.
Wild Willy's, c'est une petite cahute en bois qui ne paye pas de mine.
Nous voici tous les 5 embarqués sur l'airboat, avec Captain Dan, notre guide. Lulu a un gilet de sauvetage comme Dora the Explorer (de toutes façons, avec les bestioles qui vivent là, à quoi va-t-il lui servir ?) et tous avec nos casques anti-bruit.
La vitesse de ces embarcations, la beauté des paysages... Le tout ensemble permet d'avoir une magical hour !
Voici quelques photos de la faune de cette région, que notre guide nous a fait observer :
??? Qu'est-ce que tu fais-là, toi ?
Les eaux sont par endroit très peu profondes (à peine une main).
Captain Dan a repéré un aigle et a pris une photo avec mon appareil (parce que nous n'étions pas fichus de le voir).
Il nous a également cueilli des fleurs de nénuphars et believe it or not, mais le coeur sent le jus d'orange.
Après le tour, le passage obligé est chez Sergio et Cricket (ne me demandez pas lequel des 2 Ambre tient dans ses mains, je n'ai pas développé une intimité suffisante avec eux pour les reconnaitre).
Ils sont vraiment mignons, j'ai d'ailleurs répété bêtement : it is so cute, it is so cute, histoire de placer 4 mots en anglais.
Après nous sommes retournés à Sea World (plus généreux que Mickey, Shamu offre une 2ème entrée systématiquement). Les flamands roses ont eu des petits (mais pas roses du tout).
Ecrasés par la chaleur (37°) nous avons décidé de nous limiter au show de Shamu. Cette fois, c'est la caméra qui était devant moi et de toutes façons, même sans elle, je crois que mes photos n'auraient pas été plus réussies (note pour plus tard : trouver une justification plausible pour obtenir un DIF photo).
Cécile (encore elle !) me demandait des nouvelles de Fafa. Il va bien, apparemment, il a la belle vie.
Demain, bye bye Orlando, hi Miami.